VIC, CRU 2019 : UNE RÉUSSITE ?

Aux dires de fidèles aficionados Vicois, une telle récolte d’oreilles et de triomphes ne s’était pas produite depuis 1994, comme quoi il faudra fouiller dans les archives. Quatre sorties en
Aux dires de fidèles aficionados Vicois, une telle récolte d’oreilles et de triomphes ne s’était pas produite depuis 1994, comme quoi il faudra fouiller dans les archives. Quatre sorties en
Madrid, 10 juin. La corrida de El Ventorrillo était grande, vieille, puissante, très armée, sauf le sixième, on aurait dit du bétail quelconque. Ils ne chargeaient pas mais donnaient des
Madrid 9 juin. Ils avaient des cornes infiniment longues, étaient extrêmement volumineux et avaient tous cinq ans. Autrement dit, les conditions requises pour ne pas charger. En premier parce que
Madrid, 7 juin. La corrida de Alcurrucén fut mansa dans sa totalité. Mais elle se déplaça et par conséquent fut acceptée. Logiquement, les gens confondent charge et mobilité. La première
La corrida du Puerto de San Lorenzo, dans son ensemble, fut brave et on devinait leurs élégantes charges bien rythmées. Mais les gens pensèrent qu’elle fut responsable de l’échec d’un
Bien entendu, on l’avait protesté à la sortie. Il ne pesait que 525 kilos. En plus il était bas et avec les cornes réunies, avec une morphologie parfaite. Mais il
Hauts comme des chevaux hollandais, gros comme des éléphants, avec des cornes comme des cerfs. Ainsi étaient les toros de Las Ramblas. Naturellement, leur galop était laid, sans rythme, sans
Ceux de Fuente Ymbro étaient grands, forts, avec du poids et un comportement de toros. Mais il s’agissait de novillos du fait de leur âge -avec quelques mois en moins
Galerie de photos de Bruno Lasnier. Novillada de Captieux du deux juin 2019. Grand soleil. Lot de novillo de El Freixo pour Dorian Canton, José Fernando Molina et Borja Collado qui coupe
Captieux, 2 juin. El Juli envoya une jolie novillada de El Freixo mais tous les novillos manquèrent de forces, de punch. Les deux premiers furent d’une extrême douceur, parfois mielleuse
Madrid, 1 juin. Toreo d’antan ? Toreo innovateur ? Non, le toreo éternel, celui d’un maestro au-delà de l’ancien et du neuf. Ses quites ont l’arôme d’avant car il sort le toro
Madrid, 31 mai. La corrida d’Alcurrucén fut comme beaucoup de corridas d’aujourd’hui. Bien présentée et noble, ses charges n’étaient pas bonnes. Courtes et hautes, tardives et sans vivacité, elles n’étaient
Madrid, 30 mai. La forme est le fond : les « albaserradas » d’Adolfo Martín étaient beaux, bien faits, avec les cornes vers l’arrière, dans le type de l’encaste. Et sauf le second
Le sixième toro de Victorino Martín cherchait les chevilles mais il avait de la classe. Avant qu’on ne le pique et de montrer qu’il avait mal et moins d’énergie, il
Madrid, 28 mai. Pour fêter le centenaire de l’encaste Albaserrada, la feria de San Isidro a programmé quatre corridas. La première, de José Escolar, a présenté six taureaux grands et
Madrid, 27 mai. La novillada était de La Quinta. Autrement dit, des « santacolomas » proches des « saltillos ». Mais aussi la bravoure de ceux d’Ibarra et la qualité de Saltillo. Des novillos-toros